Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Communiqué

24/06/2010 12:27

Communiqué


Notre délégué de circonscription s’est vu  soutenu aujourd’hui par Messieurs Ferrari et Noel devant la campagne de discrédit lancé gratuitement sur un site, pourtant signataire de la charte de bonne conduite des blogs héninois. Ceux –ci se sont désolidarisés des propos haineux et infamants dirigés à l’encontre de notre délégué. Ils déplorent également la violence du ton employé contre un ami de notre délégué qui n’étant pas adhérent de DLR, n’avait pas à faire les frais de cette violence gratuite. Nous les remercions de cette attitude républicaine.

 

Le comité local héninois DLR

 



Commentaire de Allez au revoir ! (24/06/2010 13:56) :

Et voilà Sir Alpern lâché par les siens.Sir Alpern est passé en 48 heures du statut d'"Agitateur" à l'état de "Bannissement".Il vient de prendre une "belle leçon" de politique.


Commentaire de un homme averti en vaut deux (24/06/2010 14:14) :

votre ami qui est mon ami, je le connais depuis 10 années et j'avais prévenu il y a quelques jours sur le blog de AA qu'il valait mieux l'avoir "avec" que "contre".AA est fou,sourd ou inconscient ou les 3 à la fois.Lui si proche de la cahc, il aurait du se renseigner auprès de la directrice de cabinet de corbisez.Je ne pense pas vous connaitre mais à la lecture de vos articles et commentaires postés vous ne devez pas non plus donner votre part aux chiens.


Commentaire de Alice (24/06/2010 19:20) :

J'attendais cette réaction et j'en suis heureuse !





L’austérité version britannique

23/06/2010 19:53

L’austérité version britannique


Hier, Georges Osborne a présenté le plan d’austérité du gouvernement libéralo-conservateur pour réduire le déficit budgétaire. De manière assez surprenante, le cocktail comporte quelques baisses d’impôt qui traduisent bien les orientations de l’équipe en place.
Un vrai volontarisme budgétaire
Le calcul politique du gouvernement de David Cameron est sans doute habile. Autant frapper un grand coup dès le début du mandat, alors que la responsabilité de la situation peut encore être attribuée aux travaillistes, en espérant que la croissance n’en soit pas trop affectée et que des marges de manœuvre apparaissent en fin de mandat. En effet, il n’y aurait rien de pire que de devoir présenter un nouveau plan d’austérité dans deux ans, faute de mesures suffisantes.
Le gouvernement compte réduire le déficit de 150 à 20 milliards de livres en 5 ans ! Le plan comporte des hausses d’impôt : la TVA va ainsi passer de 17.5 à 20%, rapportant 13 milliards de livres, l’impôt sur les plus-values va passer de 18 à 28% et une taxe sur les banques devrait rapporter 2 milliards. Côté dépenses, il va geler les salaires de la fonction publique, supprimer des postes et réduire les budgets sociaux (via, entre autres, une remontée de l’âge de départ à la retraite à 66 ans).
Un véritable agenda néolibéral
Le principal (seul ?) point positif de ce plan est la remontée de la fiscalité sur les plus-values, qui permet de rapprocher la fiscalité du capital de celle du travail. Mais, parallèlement, le gouvernement s’est curieusement engagé à une baisse de l’impôt sur les sociétés, qui va passer de 28 à 24% en 4 ans, le niveau le plus faible du G20. En outre, les ménages payant la tranche inférieure de l’impôt sur le revenu vont bénéficier d’un abattement de 170 livres en 2011.
Si l’on peut comprendre l’intérêt de la Grande-Bretagne à  baisser la fiscalité sur les entreprises (de manière à les attirer sur son territoire), il est tout de même incroyable qu’une hausse de la TVA serve indirectement à la financer, surtout à un moment où les profits des entreprises restent élevés (puisqu’ils devraient retrouver leur sommet d’avant la crise dès 2011 ou 2012). Cela montre encore la puissance du capitalisme actionnarial qui extrait toujours plus de valeur de la société.
David Cameron a fait le choix d'une rigueur extrême pour en faire porter la responsabilité sur les travaillistes. En France, le virage se fait plus progressif mais il ne devrait pas être moins réel, comme l'indique  l’interview de Claude Guéant au Financial Times.
Laurent Pinsolle





Oligarchies

23/06/2010 19:41

Oligarchies


Au moment où les Français sont de plus en plus exaspérés par cette sorte d’impunité qui règne chez les « oligarques » du pays, le Président de la République décide de supprimer la Garden Party de l’Elysée.
Coup de pub dérisoire qui ne trompera pas nos concitoyens.
J’aimerais bien qu’on m’explique en quoi la suppression symbolique de ce rituel républicain (dont il conviendrait plus simplement et moins spectaculairement de modérer le coût) rendra notre République plus « irréprochable ».
En vérité, le Président de la République, le Premier Ministre et le gouvernement ne comprennent pas le ras le bol des Français vis-à-vis de l’irresponsabilité générale et de la connivence de la classe dirigeante avec les puissances d’argent et des privilèges toujours plus exorbitants des très privilégiés alors qu’on demande un effort supplémentaire aux classes moyennes et aux plus modestes. Montesquieu insistait sur l’indispensable vertu nécessaire à la survie de la république. La vertu ne s’affiche pas, elle se vit. La plus élémentaire vertu aurait dû alerter Eric Woerth qu’on ne peut pas être le trésorier de l’UMP et en même temps le ministre du Budget, tout en ayant pour conjointe une gestionnaire de la première fortune de France.
La plus élémentaire vertu aurait dû conduire M. Blanc à s'abstenir de fumer ses havanes aux frais du contribuable.
La plus élémentaire vertu aurait dû obliger M.Bouton, PDG de la Société Générale, à démissionner après le scandale Kerviel, comme M. Escalettes, Président de la Fédération Française de Football, au coup de sifflet final du match France / Afrique du Sud.
En vérité, c’est tout un système qui commence à exploser en vol, un système qui repose avant tout sur la résignation, voire la complicité, du politique vis-à-vis des nouvelles féodalités financières du pays. Seul l'Etat pourrait mettre bon ordre dans cette jungle des « copains et des coquins ». Seule son abstention intéressée, au nom d'une « modernité » qui nous renvoie en réalité au Moyen-Age, permet cette anarchie au profit de quelques gros intérêts ! C'est bel et bien cette internationale du fric et des puissants, charriée par une mondialisation qui a bon dos, qui déconstruit un peu plus chaque jour la République.
Quel culot d'avoir brisé le monopole public des jeux de hasard au profit de quelques « amis » du pouvoir ? De même comment tolérer que l’Etat soit actionnaire de grandes banques et renonce volontairement à exercer aucun pouvoir au sein des Conseils d’administration ?
On pourrait énumérer encore tant d'exemples !
Oui, le terme « oligarques » par lequel je débutais ce billet, n'est pas trop fort !
NDA





Comment va-t-on recréer le franc ?

23/06/2010 19:33

Comment va-t-on recréer le franc ?


· Gérard Lafay, professeur émérite à l’université Paris-II – lemonde.fr

 

42lafay Contrairement aux espoirs annoncés, l’euro a manifestement échoué. A l’intérieur de la zone concernée, il n’a engendré qu’une faible croissance économique, une délocalisation des activités industrielles et la persistance du chômage, tout en accentuant les divergences entre les pays membres. La politique de la Banque centrale européenne a en effet suscité une surévaluation chronique de la monnaie unique européenne, et elle a permis un endettement accentué des nombreux agents économiques, tant publics que privés. Au lieu de jouer un rôle d’entraînement, l’Allemagne a mené une politique salariale inutilement restrictive, accentuant le déficit de certains pays de la zone, au point de les conduire au bord du gouffre.
Sur le plan économique, l’euro ne pourrait être poursuivi qu’en menant un fédéralisme budgétaire, solution préconisée par Messieurs Jean-Claude Trichet et Dominique Strauss-Kahn. Cohérente sur le plan économique, cette solution est inapplicable politiquement dans un régime démocratique. Elle impliquerait le même type de transferts budgétaires que celui qui existe, à l’intérieur de chacune des nations, entre les régions riches et les régions pauvres. Or l’Europe n’est pas une nation, qui a l’habitude d’accepter cette forme naturelle de solidarité. Le pays le plus riche, l’Allemagne, exclut même formellement une telle formule, ayant déjà suffisamment payé pour mettre à niveau les länder de l’ex-RDA.
A plus ou moins brève échéance, l’euro est donc condamné. La question n’est donc pas de savoir s’il faut recréer le franc : une telle issue est inéluctable. La seule question pertinente est de connaître les conditions dans lesquelles ce processus va se dérouler.
Le plus grave serait de subir en catastrophe, sous la pression de la spéculation, une dislocation désordonnée de la zone euro. Au lieu de pratiquer la politique de l’autruche, en se berçant d’illusions, il faut donc préparer calmement la solution alternative qui va s’imposer impérativement. D’une part, en précisant les conditions de recréation des différentes monnaies nationales, et en particulier du franc français. D’autre part, en mettant en place un nouveau système monétaire européen.
Techniquement, la recréation du franc français, comme celle des autres monnaies de l’actuelle zone euro, est une solution facile, qui prendra au plus quelques mois. On a déjà l’expérience de l’opération inverse, qui a abouti à la création de l’euro, et on connaît l’exemple de diverses zones monétaires qui se sont scindées, que ce soit lors de la division de la Tchécoslovaquie ou lors de l’éclatement des anciennes fédérations soviétique et yougoslave. Il conviendra simplement de dissoudre la Banque centrale européenne, de répartir ses réserves de change au prorata des apports initiaux, et de restituer à la Banque de France l’intégralité de ses attributions.
La seule question posée est de savoir quel taux de conversion devra être adopté. La première solution, qui satisferait les nostalgiques, serait de prendre l’inverse de ce qui avait été retenu lors du passage à l’euro, c’est-à-dire de revenir au franc ancien qui existait avant 2002, en multipliant tous les chiffres par 6,55957. Cette formule aurait deux inconvénients : d’une part, de favoriser le dérapage inflationniste en troublant les consommateurs, comme ce fut le cas lors de l’opération de 2002 ; d’autre part, de modifier tous les contrats existants. La seconde solution, qui serait sans doute la meilleure, serait de prendre le taux de conversion le plus simple, c’est-à-dire de décréter qu’un franc nouveau est égal à un euro.

NOUVEAU SYSTÈME MONÉTAIRE EUROPÉEN

Vis-à-vis des autres monnaies, la valeur d’un franc nouveau sera déterminée par le marché des changes. Elle évoluera en fonction de la politique qui sera menée en France, tant dans l’économie que dans la gestion du change. Il est faux de s’imaginer que notre pays soit fatalement laxiste, car il fut autrefois exemplaire (à l’époque du général de Gaulle jusqu’en 1968, puis de Georges Pompidou). Non seulement la création d’un franc nouveau ne nous dispensera pas des efforts nécessaires pour rétablir la situation budgétaire et pour résoudre le problème des retraites, mais elle facilitera leur solution en permettant de retrouver les moyens de la croissance économique.
La création d’un franc nouveau doit aller de pair avec l’organisation d’un nouveau système monétaire européen, afin de sauvegarder les aspects positifs de l’Europe, tout en tirant les leçons des difficultés qu’avait connues l’ancien SME mis en place en 1979. Il conviendra de ne pas se focaliser sur les taux de change nominaux, mais de ne retenir que les taux de change réels, c’est-à-dire les niveaux relatifs de prix des pays les uns par rapport aux autres. Le maintien d’un taux de change réel exige que le taux de change nominal de la monnaie correspondante puisse varier en fonction des écarts d’inflation, en plus (appréciation) pour un pays peu inflationniste, en moins (dépréciation) pour un pays trop inflationniste.
La mise en place de ce nouveau système monétaire européen implique que l’on mette en priorité la politique de change dans chacune des nations européennes, compte tenu des anticipations des opérateurs. En influant sur le taux de change nominal, et tout en stérilisant ses effets internes, cette politique permet d’obtenir le taux de change réel qui est désiré pour chaque nation. Celui-ci doit être conforme à la solidité de son appareil productif, c’est-à-dire qu’il doit être d’autant plus bas que le pays est plus fragile structurellement afin d’équilibrer sa balance commerciale.
Ainsi, entre les pays européens, il faudra s’accorder sur les niveaux des taux de change réels qui correspondent à leur situation objective, en permettant aux pays en retard de se développer plus vite, mais sans leur donner un avantage excessif de compétitivité. Vis-à-vis du reste du monde, une monnaie commune, telle que l’écu, sera créée comme la moyenne pondérée des monnaies nationales, mais son taux de change réel devra demeurer réaliste, c’est-à-dire que le niveau moyen des prix européens ne devra pas être trop cher.
Mais la politique de change n’est pas toujours efficace si l’on se trouve en présence de partenaires dont la monnaie est visiblement trop bon marché, parce qu’ils achètent des réserves en devises étrangères (cas de la Chine). Sans pour autant s’engager dans la voie dangereuse du protectionnisme, la solution sera alors d’établir les conditions d’une concurrence loyale dans les échanges commerciaux avec les pays fautifs, par des prélèvements à l’importation et par des restitutions à l’exportation, comme Maurice Lauré l’avait préconisé en 1993.

Gérard Lafay, professeur émérite à l’université Paris-II






Les .... ça ose tous !

23/06/2010 15:11

Les .... ça ose tous !


Comme nous l’avons rappelé précédemment, la lutte du FN doit se faire sur le terrain. Dernièrement, celui-ci, au niveau local, a publié sur son blog un article de presse émanant du journal « Minute ». Nous condamnons et  nous élevons contre les propos outranciers pour ne pas dire discriminants qu’a proféré « minute » ( le journal à parcourir d’un derrière distrait), à l’encontre de l’équipe de France de football. Nous ne sommes d’ailleurs pas surpris que celui-ci soit repris par le blog de Steeve Briois. Le FN, même light, reste fidèle à lui-même : un condensé de haine raciale et religieuse !

On peut certes, reprocher beaucoup de choses « aux bleus » : 

-         Des joueurs peu concernés par l’enjeu 

-         Un manque d’amour du maillot 

-         Des joueurs trop gâtés par l’argent… 

Mais nous dénonçons ce procédé nauséabond qui consiste à attaquer les joueurs dans leur vie personnelle, leur origine, leur couleur de peau, leur foi religieuse…   

Ce numéro n’aurait jamais du paraître. Les fourches caudines de la censure républicaine ne sont plus ce qu’elles étaient ! 

Remarquez bien le champ lexical utilisé dans cet article. Il  véhicule en filigrane des idées d’exclusion, de racisme, d’anti – républicanisme dans un flot d’injures. 

Propos discriminatoire : « ces gens-là », « ce converti à l’Islam » 

Propos insultants : « bandes de voyous », « mafia », « petites frappes », « caïds », « tir aux p… », 

Propos offensant la vie personnelle : sur l’épouse d’un joueur, 

Nostalgie de la royauté absolue : référence à  un Louis XVI digne, 

Propos insufflant la division nationale : « noirs et blancs »… 

Décidément, « Minute » reste fidèle à l’image qu’en avait dit  un jour le regretté Pierre Desproges : « c'est un journal avantageux ! Au lieu de vous emmerder à lire tout Sartre, avec un seul numéro de Minute, vous avez en même temps la Nausée et les Mains Sales!”. Quant à ses lecteurs, adeptes décérébrés de la France pétainiste, je paraphraserai un autre auteur célèbre qui pensait certainement à ce genre d’abrutis : 

« Le jour où l’on mettra les c… sur orbite, ils n’auront pas fini de tourner ! » 

Le comité local héninois DLR 



Commentaire de Clin d\'oeil (23/06/2010 16:31) :

Finalement ! Il fallait laisser se dérouler les "apéros saucisson pinard" et même en organiser à Hénin Beaumont.Car pour certains, vaut mieux être bourré que con ça dure moins longtemps.......


Commentaire de bien vu (23/06/2010 17:24) :

à clin d'oeil J'ai bien compris votre allusion au 2nd degrés mais faites attention car certains responsables politiques locaux pourraient vous suspecter par paresse intellectuelle ou par calcul d'être du FN. Le second degrés est rarement compris surtout ici.


Commentaire de le petit rapporteur (23/06/2010 17:31) :

Réponse de DLR à Mr Alpern suite aux propos qui suivent « Les partis de droite ont accepté d'y participer, puis changé d'avis: on suppose qu'ils se sont aperçus que dans l'électorat du FN, il y avait peut-être des voix à récupérer et qu'il ne fallait pas les heurter (cf Sarkozy). Quant aux Verts, le fait qu'un des leurs cautionne cette complicité, puisque faisant partie de la majorité, peut-être se sont-ils sentis en porte à faux... » « Comme toujours, il y a ceux qui restent fidèles à leurs idéaux républicains et ceux qui en parlent et en parlent...mais qui de renoncements en renoncements sont les complices de la stratégie que nous dénonçons. » Cher Mr Alpern, DLR n’a jamais clairement donné son accord pour cette promotion de votre ego. Pour mémoire nous rappelons que l’invitation fût donnée le 18 juin à 18H00. Notre délégué avait bien clairement dit qu’il consulterait d’abord sa base avant de prendre une décision. Cette consultation se déroula le lundi 21 juin à 18H00. Cela n’empêcha pas certains d’entre vous de tenir notre présence comme acquise et de l’utiliser comme argument pour inviter d’autres représentants de partis locaux (UMP, Vert). Cette manière d’intriguer dans la coulisse n’est hélas pas nouvelle chez les adeptes de l’école du PS62. Dans votre commentaire, vous vous faites le chantre du républicanisme, mais sachez qu’en ce domaine, nous ne sommes pas les derniers. Nos militants, par une forte majorité, ont rejeté cette invitation. Nous avons alors acquiescé leur choix. ( ça c’est du respect républicain !) Les motivations de chacun ont été transcrites sur un communiqué de presse afin qu’il n’y est pas de malentendus. Alors s’il vous plait, cher Mr Alpern, vos leçons de démocrates républicains vous pouvez vous les prescrire pour vous-même, et à forte dose ! Le comité local Héninois DLR


Commentaire de Caton l\'ancien (23/06/2010 22:12) :

c'est même à cela qu'on les reconnaît ! Et je les ai reconnu, les adeptes de la haine et de la division.


Commentaire de bienvenue au club (23/06/2010 22:14) :


Commentaire de Le Béthunois (24/06/2010 08:57) :

Quel bide hier pour le nouvel élan et A.Alpern.Seul gain, la porte est fermée avec DLR.


Commentaire de comité local DLR hénin (24/06/2010 10:37) :

c'est pas le nouvel élan qui nous pose problème! Le comportement de certaines personnes oui ! Il n'y a pas à en dire plus !





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